Afin de suivre, d’analyser et de gérer la flotte de votre transport de personne, vous devez installer un système de géolocalisation. Ce dernier doit être accompagné d’un logiciel qui vous permettra de réaliser des tâches basiques. Par ailleurs, l’installation de ce système peut être réalisée par un professionnel. Considérez sa réputation et sa fiabilité avant de prendre une décision.

Que faire pour installer un système de géolocalisation pour le transport de personnes ?

Pour la géolocalisation du transport de personnes, vous pouvez utiliser une « application transport de personnes « . Ces outils vous aideront à gérer les flottes. Notez que l’utilisation de ces logiciels particuliers vous offre la possibilité de gérer les véhicules à distance depuis votre téléphone ou votre ordinateur. De cette manière, vous pourrez analyser et suivre les données envoyées en temps réel. Si nécessaire, il vous sera possible d’envoyer des rappels à tous les conducteurs. De plus, l’utilisation de ces outils vous permettra de favoriser l’écoconduite. En effet, vous pouvez analyser les habitudes des conducteurs comme la vitesse, la consommation de carburant, les freinages brusques, … N’oubliez pas que l’objectif est de réduire les dépenses en carburant et d’améliorer la sécurité au volant. Pour la mise en place, vous pouvez faire appel à des spécialistes fiables et compétents. Ce dernier dispose de toutes les qualifications nécessaires pour vous accompagner dans votre projet. Vous pouvez trouver des spécialistes en géolocalisation pour le transport de personnes sur internet. N’hésitez pas à comparer les services proposés avant de prendre des décisions.

Des conseils pour mettre en place un système de géolocalisation pour le transport de personne

Pour suivre un transport de personnes, vous aurez besoin de quelques matériels. En effet, vous aurez besoin d’un boîtier GPRS/GSM, un boîtier GPS, des services en option, des capteurs et un logiciel transport de personnes. Avec ce dernier, vous pourrez suivre à distance vos employés. Par ailleurs, vous devez respecter quelques réglementations pour éviter les mauvaises surprises. Dans le cas contraire, vous risquez de payer des amendes avec de l’emprisonnement. De ce fait, vous êtes tenu de renseigner vos salariés sur l’installation. Il vous est possible de lui remettre un courrier ou l’ajouter au contrat de travail. Dans ce document, vous devez mentionner l’objectif de traitement de données et les personnes responsables. Il faut noter que si les conditions sont illégales, le salarié peut s’opposer à la mise en place. Il est important de respecter la vie privée des équipes. Vous n’avez pas le droit de surveiller en permanence vos salariés. Il faut se limiter aux horaires de travail. De ce fait, le salarié doit avoir le droit de désactiver le système en dehors des heures de travail. De toute évidence, la conservation des données doit se faire pour une durée limitée. Dans certains cas, cette conservation peut aller jusqu’à 5 ans. 

Ce qu’il faut faire pour installer un système de géolocalisation pour le transport de personne

Pour installer un système de géolocalisation pour le transport de personnes, vous pouvez faire appel à un spécialiste. Informez-vous sur la certification de ce dernier avant de prendre une décision. C’est un gage de professionnalisme et de savoir-faire. Par ailleurs, il ne faut pas négliger la question budgétaire. Méfiez-vous des professionnels qui proposent des tarifs trop bas. Il peut s’agir d’un service de mauvaise qualité. L’idéal est de s’adresser à des spécialistes qui proposent des prestations répondant au meilleur rapport qualité et prix. Il est conseillé de voir les blogs et les forums sur internet. Cette initiative vous permettra d’obtenir des recommandations venant des internautes. De toute façon, informez-vous sur les matériels et les marques utilisés avant d’engager un expert. Un professionnel fiable vous fournira un devis détaillé pour vous donner une idée de la prestation proposée. 

L’hygiène personnelle est primordiale pour les patients. En particulier, la pureté de l’âme et de son environnement offre la possibilité d’atteindre simultanément le bien-être physique, l’autodéfense et la moralité. Par exemple, les couettes et les couvertures antibactériennes gardent les malades au chaud avec une meilleure hygiène et pratique. Cette couverture chimique empêche la croissance des bactéries. Il est destiné à une variété de professionnels de la santé, y compris les services médicaux d’urgence, les pompiers, les hôpitaux et les cliniques. Développez ce contenu pour garder les patients en bonne santé et au chaud.

Pourquoi commander une couverture anti bactérienne auprès d’un expert en ligne ?

De nombreux magasins font la vente de matériel médical, mais ce sont des produits délicats. Vous devez donc faire attention à votre sélection. Bien que les magasins physiques soient attrayants, il existe de nombreux autres avantages à commander en ligne auprès d’un expert. Concernant la fiabilité, les experts en ligne ont un site couverture brancard ambulance avec des informations détaillées et des tapis antibactériens qu’ils vendent. Vous pouvez ainsi lire les opinions des utilisateurs pour mieux comprendre leur couverture. Vous pouvez également trouver un catalogue complet, comprenant différents modèles et couleurs pour toutes les applications. Vous pouvez également comparer diverses quantités en ligne pour trouver la meilleure relation qualité-prix. L’un des avantages des achats en ligne est que vous n’avez pas à vous déplacer. Quelle que soit la taille de votre programme, vous pouvez vérifier votre demande d’assurance-maladie en quelques clics et la recevoir instantanément à la maison.

À quoi servent les couvertures antibactériennes ?

Une couverture anti bactérienne est un matériel médical principalement utilisé par les ambulanciers ou les paramédicaux pour transporter un souffrant vers une destination comme l’hôpital ou la maison de retraite. Cependant, les couvertures sont totalement hygiéniques, très confortables et sont souvent utilisées par le personnel hospitalier pour les indulgents en salle de réveil et en salle d’opération. Une particularité de cette couverture est sa force à se protéger du froid. Une couverture peut être importante si le patient est à risque d’hypothermie, car il s’agit d’un matériau isolant qui aide à maintenir une température corporelle maximale. De plus, les couvertures antibactériennes protègent votre vie privée. Sa fonction est de défendre l’organisme des contaminations bactériennes et microbiennes que l’on trouve couramment dans les textiles. Le mauvais capuchon, qui est fermement soudé avec du polyuréthane, empêche la propagation de diverses maladies, y compris la prévention des multi-pénétrations. De plus, si une contamination potentielle est suspectée, le procédé à l’éponge est suffisant pour éliminer la contamination interne et externe du revêtement. 

Quels sont les types de couvertures bactériostatiques et quelle est la meilleure façon de la choisir ?

Et il existe de nombreux types de couvertures antibactériennes sur le marché avec différentes conceptions, utilisations et structures. L’application, par exemple, propose des feuilles anti-fécondation spécialement conçues pour les matelas résilients. Il existe également une coque stérile vide qui ressemble à un sac de couchage couvert pour mieux protéger le patient, mais qui possède toutes les propriétés d’une housse anti-germes. La couette est si confortable qu’elle est parfaite pour la maternité, mais vous garde au chaud des deux côtés. Il peut être enveloppé pour couvrir les bactéries. La housse est fermée par une fermeture éclair étanche, elle est donc facile à laver et sèche rapidement. La couverture élimine le besoin de nettoyage fréquent de la cabine. Ceci est très approprié pour les centres avec beaucoup de patients. Une housse de chaise désinfectante est également disponible qui ressemble à une robe de bal et couvre le patient de la tête aux pieds. Ce matériel médical est principalement utilisé pour l’exportation de personnes handicapées dans la zone de transport entre la cabine et le reste de l’entreprise. Tous les revêtements antimicrobiens n’ont pas la même surface de soudure en termes de matériau et de finition. De même, certains d’entre eux sont constitués de coques en polyuréthane résistant au feu, tandis que d’autres ne le sont pas. En résumé, le choix dépendra de vos besoins, mais surtout du niveau de sécurité que vous recherchez.
Cependant, lorsque vous choisissez un revêtement bactériostatique, vous devez tenir compte de vos besoins et de l’application spécifique pour laquelle vous prévoyez de l’utiliser. Mais avant tout, il faut savoir miser sur la qualité. Les couvertures résistantes aux bactéries sont bien meilleures à ce stade. Les couvertures doivent être aussi résistantes que possible aux détergents afin qu’elles restent antibactériennes après le lavage. Il est également important de fournir une ventilation adéquate pour assurer un confort maximal pour le patient. De plus, de bons revêtements antibactériens sont généralement imperméables et ignifuges et nécessitent un certain degré de résistance au feu. L’esthétique est également un des détails à considérer, notamment pour la couverture brancard ambulance très visible la nuit. Ambulance en accordant une attention particulière à la taille du toit. En fait, il est toujours préférable de choisir une housse imperméable qui s’adapte à toutes les conditions et situations ou à la taille du patient.

Comment les revêtements antibactériens sont-ils appliqués ?

Un peu de sensibilité est nécessaire lors du lavage du patient. Couvrir le contenu pour éviter de l’endommager. De plus, les produits utilisés pour nettoyer ces revêtements doivent être totalement exempts de chlore pendant que ce matériau durcit. La surface est protégée avec une éponge ou un simple chiffon imbibé d’un antiseptique. Le séchage s’effectue en rinçant à l’eau claire à l’aide de microfibres ou de papier jetable. Dans la mesure du possible, utilisez des produits de laboratoire conçus spécifiquement pour les matériaux de toiture antibactériens. Si vous voyez des taches visibles sur des produits comme la bétadine ou le plâtre, utilisez un détachant tout usage pour les enlever dès que possible. Vous pouvez également acheter des tâches de détergent supplémentaires dans les magasins qui vendent des tapis de civière. De plus, ce type de couverture bactériostatique peut être lavé en machine, mais cette fois avec un détergent ordinaire sans chlore. La température maximale de nettoyage de la couverture antibactérienne est de 95 degrés, et une rotation minimale de 1000 tours par minute est inévitable. Pas besoin de laver avec des teintures ou des assouplissements. Enfin, lors du séchage à l’extérieur ou mécaniquement à 60 degrés à 90 degrés pendant environ 60 minutes. Cependant, tous les revêtements antibactériens n’ont pas la même qualité et la même résistance, un test à sec est donc requis avant chaque lavage.

Les avantages physiques et psychologiques du réchauffement du patient 

Cela nécessite un moyen de maintenir la température corporelle du patient. La couverture bactériostatique peut être le meilleur moyen de garder les patients au chaud. Le risque d’hypothermie pendant et après la chirurgie est un paramètre important dans la recherche de soins médicaux. En effet, l’hypothermie augmente le risque d’infection dans la salle d’opération et accroît souvent les coûts et les installations hospitalières. Le centre prend des précautions pour prévenir l’hypothermie en fournissant des lits pour les malades à toutes les étapes de l’opération. Une couverture brancard ambulance peut être placée sur le patient pour le garder au chaud pendant la chirurgie. Garder les patients au chaud peut être psychologiquement bénéfique pour les patients qui se préparent à la chirurgie. Les patients peuvent éprouver des réactions physiques telles que des frissons. Cette dernière peut être une expérience difficile et stressante. Une couverture bactériostatique libère l’indulgent du rhume, lui apporte sécurité et confort.

Les vacances d’hiver approchent. Les stations de ski des Alpes sont les destinations les plus prisées en cette saison. Les activités et divertissements hivernaux vont reprendre pour le bonheur de tous. Cependant, l’organisation d’un séjour en montagne n’est pas toujours aisée. Trouver un hôtel pour l’hébergement, la restauration, les circuits et activités à faire, tout est à prévoir pour que les vacances ne soient pas ratées. L’organisation du transport est aussi très importante. La plupart des vacanciers préfèrent prendre l’avion ou le train à destination d’un aéroport ou d’une gare aux environs de la chaine de montagnes. Les transferts vers les stations de ski sont pris en charge par les taxis à partir de là. Comment alors être sûr d’avoir les bons services pour les transferts en aller et en retour, de l’aéroport ou de la gare vers les stations ? Des services de transfert en taxi sont à votre disposition.

 Annecy, la ville de référence

Annecy est une des villes françaises des Alpes qui est le chef-lieu et la préfecture du département de la Haute-Savoie en région ARA (Auvergne-Rhône-Alpes). L’aéroport Annecy-Meythet et la gare d’Annecy sont chaque année les points de départ de milliers de vacanciers et de touristes vers toutes les stations de ski de la région. Une organisation rigoureuse de transfert vers toutes les destinations a été mise en place pour offrir des services de transport de qualité aux usagers.

La prestation de service de taxi à Annecy est une des meilleures du monde. Communiquer avec un chauffeur taxi de cette ville révèlera le caractère chaleureux et le professionnalisme de celui-ci.

Les prestations des services de transfert d’Annecy

Que ce soit pour les professionnels ou les particuliers, les services offerts et les voitures peuvent varier en fonction des besoins et des demandes de chaque client. Mais toutes les voitures proposées sont « haut de gamme » et peuvent être aménagées selon des critères spécifiques comme le transport des enfants ou encore le transport de malade.

Les garanties de service

Que ce soit pour les simples taxis, les VTC ou les VSL, une permanence est assurée 24 h/24 h. Un chauffeur reste disponible à tout moment afin d’assurer un bon service à la demande de la clientèle.

Le métier de taxi en Haute Savoie est une assurance pour les vacanciers d’avoir un service de transport pour aller partout même en haute montagne sur les stations de ski en hauteur, et à toute heure que ce soit de nuit ou de jour.

Comment faire pour une réservation ?

Comme précisé, il n’est pas nécessaire de faire des réservations pour trouver un taxi. Les taxis disposent de parkings réservés dans les aéroports et les gares. Et les paiements se font en argent liquide.

Pour les VSL et les VTC, plusieurs prestataires proposent leurs services et leurs tarifs via des sites internet professionnels ou individuels. Leurs offres varient selon la destination à partir du point de départ et en fonction de la distance. Dans certains cas, aucune avance n’est demandée à la réservation, et les paiements se font généralement par carte ou virement bancaire.

Dans le cas d’une évacuation sanitaire ou la prise en charge d’une personne handicapée, il est indispensable de préciser la nature et le degré de handicap de la personne pour que les VSL soient aménagés de façon à garantir le confort et la sécurité de celle-ci.

Il existe aussi des sites comparateurs de services de taxi à Annecy en Haute-Savoie. Ces sites internet publient notamment des sondages de satisfaction des clients par rapport à la prise en charge qu’ils ont reçue dès leur arrivée jusqu’à leur retour. Ces derniers sont généralement satisfaits au point d’attribuer des « pourboires » supplémentaires aux chauffeurs.

Alors pour vos prochaines vacances, ne vous cassez plus la tête pour votre déplacement. Faites une petite recherche et vous trouverez votre besoin en ligne adapté à votre famille.

D’après les statistiques, 16% de la population européenne se trouve en situation de handicap. Ce chiffre augmente avec les années. La mise en place d’une infrastructure dédiée aux personnes en situation de handicap se trouve au cœur de la politique européenne. C’est pour cette raison que l’infrastructure de nombreuses villes européennes a évolué afin de permettre aux personnes à mobilité réduite de circuler et de voyager librement. D’ailleurs, la loi Handicap de 2015 a été instaurée dans ce but. Toutefois, certaines villes sont mieux structurées que d’autres.

Les villes les plus accessibles

La France se démarque des autres pays grâce à ses villes et ses communes qui disposent de nombreuses infrastructures adaptées aux personnes en situation de handicap.

Les villes de Nantes, d’Evreux, de Lyon et de Grenoble ainsi que les communes de Mans, de Belfort, d’Evry et d’Epinal sortent du lot en matière d’accessibilité pour tous. Elles dominent le classement européen des villes les plus accessibles et ce, depuis plusieurs années.

Ainsi, l’accessibilité aux centres commerciaux, aux bureaux de poste, aux piscines, aux salles de cinéma a connu une grande évolution dans ces lieux. Ils offrent un cadre de vie adapté à ces personnes à mobilité réduite en mettant en place un réseau de bus accessible entre autres.

Des infrastructures améliorées

Parmi les pays européens, les villes de France ont été plusieurs fois récompensées pour être une ville accessible pour les handicapés. Elles sont également accessibles aux non-voyants et aux malentendants.

Dans plusieurs de ces villes, il a été constaté que les établissements municipaux ont effectué les travaux nécessaires pour améliorer la qualité de vie de cette partie importante de la population.

Les points à améliorer

Même si la politique sociale envers les personnes handicapées a évolué, elle reste un vrai problème dans certaines villes de France. Loin d’améliorer leur performance, ces dernières restent inaccessibles.

En outre, le nombre des écoles pouvant les accueillir sont encore loin du compte. Pareillement, le nombre de commerces de proximité n’ont pas beaucoup augmenté. Il est difficile pour ces personnes de se rendre chez un boulanger par exemple. D’autre part, les transports devaient également être améliorés, mais seulement 42% des réseaux de bus sont accessibles.

D’un autre côté, l’Association des paralysés de France (APF) déplore l’inaccessibilité aux établissements médicaux alors que leur premier rôle consiste à accueillir les personnes les plus vulnérables sur le plan physique. De plus, ces personnes à mobilité réduite n’ont même pas la possibilité de choisir leur ophtalmologiste ou autres médecins spécialistes. En effet, le nombre des personnels de santé destinés à recevoir ces personnes reste insuffisant.

Les personnes en situation de handicap se débrouillent comme ils peuvent pour conduire des véhicules comme tout le monde, et certains y arrivent. Mais beaucoup d’entre eux n’ont pas cette possibilité. Il existe heureusement de entreprises qui ajoutent ou modifient des équipements de la voiture pour qu’elle puisse s’adapter aux besoins des personnes en situation de handicap. Une fois adapté, le véhicule sera classé parmi les véhicules TPMR (Transport de Personne à Mobilité Réduite).

Les solutions adaptées aux personnes handicapées

De nos jours, grâce aux progrès techniques et technologiques dans le secteur automobile, il est devenu possible de conduire une voiture en restant assis dans son fauteuil roulant, qu’il soit manuel ou électrique. Les aménagements nécessaires à cela sont dits « de décaissement ». Le siège du conducteur sera complètement supprimé. De cette manière, lorsque le conducteur en situation de handicap s’installe dans le véhicule, il n’aura pas à réaliser un transfert, c’est-à-dire, passer de son fauteuil au siège conducteur. Les installateurs proposent des systèmes de conduite alternatifs. Ils personnaliseront les solutions selon le type et le degré du handicap. On peut par exemple opter pour une commande joystick ou via une gâchette ; un accélérateur au niveau d’une manette rotative ou autour du volant ; une inversion de la pédale à gauche, etc…

Comment choisir un véhicule TPMR ?

La plupart des véhicules peuvent être adaptés aux personnes handicapés. Renseignez-vous auprès des installateurs pour obtenir des conseils sur les modèles les plus adaptés à la personne qui va conduire le véhicule. Généralement, le type de véhicule qui arrive le mieux à répondre aux problèmes d’aménagements est le véhicule utilitaire léger (VUL). Il est aussi fortement conseillé d’opter pour les véhicules à embrayage automatique. Cela facilitera considérablement les mouvements à faire. Ces temps-ci, on entend parler des véhicules autonomes. Ce sont des perspectives prometteuses pour les années à venir.

Ils existent des aides pour transformer les véhicules

Il faut savoir qu’aménager un véhicule TPMR peut coûter cher. La bonne nouvelle, c’est qu’il y a des aides que vous pouvez demander avant l’achat du véhicule et les interventions des installateurs. L’AGEFIPH (Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées) offre une aide de 5000 € maximum sur une durée de 5 ans. La condition est que le véhicule soit fait pour exercer un emploi dans le secteur privé. Il existe aussi une aide appelée FIPHFP (Fond pour l’Insertion des Personnes handicapées dans la Fonction Publique). Elle est réservé aux fonctionnaires.

Se déplacer pour les personnes à mobilité réduite (ou PMR) n’est pas évident. Ces difficultés peuvent être permanentes comme dans le cas des handicaps moteurs, sensoriels ou intellectuels, etc., mais également temporaires dans le cas des personnes accidentées avec une jambe cassée, les femmes enceintes, les personnes avec des enfants ou avec des poussettes. Pour se déplacer au quotidien, ces personnes ont besoin des services de transports spécialisés ou de véhicules équipés qui répondent à des normes d’accessibilité.

Les transports en commun accessibles aux PMR

Les transports en commun commencent peu à peu à devenir accessibles aux PMR et sont aménagés dans ce sens. Différents types de transports à mobilité réduite existent comme les bus, les tramways, les autocars, les minibus ou minicars. Des équipements supplémentaires y sont installés. Les bus sont dotés de places spéciales pour les personnes en fauteuils. Ils sont également dotés de palettes rétractables par le chauffeur devant les portes centrales des bus. D’autres types de transport existent comme les tramways où des planches basses et des suspensions électriques ont été installées ainsi que la mise en place de boutons accessibles aux arrêts permettant d’actionner les feux avec un signal sonore pour les malvoyants. Au niveau des TAG (à Grenoble) par exemple, l’accès direct depuis le quai a été créé ainsi que la lecture en braille des stations, des annonces sonores et visuelles à bord. Dans ces tramways, les fauteuils roulants peuvent être calés le long de ces places, dos à la route et freins à main serrés.

Autres exemples de transports en commun pour les PMR

Dans les autocars sont observés les mêmes dispositifs que ceux énumérés ultérieurement et où l’on a diminué le nombre de places à 8 en moyenne. Des minibus et des minicars peuvent également accueillir des PMR. Ils sont dotés de portes médianes doubles aux plateformes accessibles dotées d’équipements de sécurité avec des élévateurs pour fauteuils roulants dans l’allée centrale et une mise en conformité visuelle et sonore pour les malvoyants et les malentendants.

Les véhicules particuliers destinés aux PMR

Il y a aussi des véhicules particuliers comme moyen de transport à mobilité réduite grâce aux services de transport spécialisés. Ces véhicules sont dotés d’équipements comme un élévateur, l’ancrage de sécurité, etc. ils permettent plus de flexibilité, de tranquillité et de sécurité pour les PMR. Ces moyens de transport peuvent être utilisés pour un service médical, emmener les PMR vers leur lieu de travail ou encore pour faire des courses, etc.

Les personnes à mobilité réduite sont des personnes qui présentent des difficultés pour se déplacer. Elles ont recours à beaucoup plus d’attention et ont des besoins plus spécifiques par rapport aux autres voyageurs. Au niveau des aéroports, en ce qui concerne l’organisation de leurs transports, différentes dispositions ont été prises dans le cadre de leur déplacement afin de leur assurer un voyage agréable et dans des meilleures conditions.

Transfert de la personne à  mobilité réduite vers l’aéroport

Premièrement, au niveau des aéroports, des emplacements réservés, des parcs de stationnement sont à la disposition des personnes à mobilité réduite. Elles peuvent également bénéficier d’une zone de dépôt rapide pour les voitures qui peuvent être des voitures adaptées avec des spécialistes pouvant leur porter assistance. Les taxis peuvent les prendre devant l’entrée du terminal à leur arrivée ou les déposer à l’extérieur du hall avant leur départ.

Des informations supplémentaires requises à l’aéroport

Une réservation des billets 48 heures avant le départ doit être effectuée. Et pour le transport mobilité réduite à l’aéroport, ils doivent fournir des informations supplémentaires comme la mention que la personne est à mobilité réduite et spécifie ses besoins au niveau de la compagnie aérienne. Il s’agit de mentionner si le voyageur a besoin d’assistance ou non, si la personne voyage avec un chien d’aveugle ou encore avec un équipement médical, de mentionner également la nature du handicap. Si la personne se déplace en chaise roulante, il faudrait préciser qu’il s’agit de sa propre chaise ou non, qu’il y a quelqu’un pour pousser. En plus, il faut détailler la mesure de la chaise roulante, s’il s’agit d’une chaise roulante électrique; la précision du type de batterie peut être acquise etc…

Des accompagnateurs très utiles si nécessaire

Enfin, il existe des accompagnateurs de passagers à mobilité réduite au niveau des entreprises d’assistance en escale, des aérogares et des pistes ou encore grâce à l’association des compagnons du voyage. Ils peuvent prendre soins des PMR à partir du point de rendez-vous jusqu’à destination selon les cas. Il faut également arriver avant l’heure limite d’enregistrement pour confirmer sa réservation et se conformer aux consignes. Cela peut se faire au niveau du comptoir d’enregistrement de la compagnie aérienne ou au niveau des bornes d’appels dédiées si la personne se situe à l’extérieur du terminal. Dans ce cas, ils peuvent être pris en charge dans la minute qui suit. En ce qui concerne la prestation d’accompagnement, elle est gratuite et identique pour les passagers quelle que soit la classe de voyage. Cette organisation est surtout observable dans les aéroports situés dans l’Union Européenne (UE), en Norvège, Islande et Suisse.

De toute façon, dans la structure des centres de soins dans le système français, il y a lieu de remarquer qu’il existe deux catégories bien distinctes qui assurent, en général, des divers types d’hospitalisation, des soins médicaux- chirurgicaux et obstétriques et bien d’autres encore. Entre autres, presque les 70% de ces centres fonctionnent sous tutelle du ministère chargé de la coordination de la santé publique, et pour les 30% restantes, ils travaillent uniquement à titre privé.

Des services de la médecine générale sont opérationnels

Effectivement, à la suite de l’immense prolifération des maladies chroniques à l’instar de l’asthme ou des rhumatismes qui ne cessent de se manifester partout, il se trouve que les centres hospitaliers d’aujourd’hui ont du dimensionner leur service de soins en fonction des besoins urgents constatés au niveau de la communauté sociale. A ce titre, les services de médecine s’engagent à offrir une prise en charge globale des soins à l’intention des patients atteints des maladies les plus diverses. C’est, surtout, dans ce sens que plusieurs filières de soins ont été instituées dans le cadre d’un établissement de santé pour se consacrer davantage au traitement des maladies spécifiquement en liaison aux cancers, au diabète et aux autres maladies de différentes sortes selon les infrastructures d’accueil disponibles auprès de ces structures de soins. Il ne faut pas aussi oublier la prise en charge des personnes qui nécessitent des soins psychiatriques en milieu hospitalier.

Une branche de la chirurgie médicale a été aussi instituée

Pour son fonctionnement, cette branche de la chirurgie médicale se charge surtout de la spécialité médico-chirurgicale au sein de l’établissement de santé. D’autant plus, l’objet principal de sa mission repose, en grande partie, dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge du traitement des malades qui ont besoin des interventions chirurgicales d’urgence.

Des interventions ambulatoires sont aussi dispensées

Toutefois, il y a lieu de noter que dans la délivrance des soins au sein de tel établissement de santé, à l’heure actuelle, une autre forme ambulatoire ou à domicile peut être sollicitée en fonction de la gravité des soins apportés aux patients. En d’autres termes, l’ambulatoire fait partie de toutes les interventions chirurgicales relavant une hospitalisation de courte durée en moins d’une journée. Quoi qu’il en soit, le patient doit continuer de suivre son traitement sous la surveillance du personnel médical et paramédical de l’établissement de santé. De toutes les façons, des documents administratifs et médicaux seront remis à ces patients en quittant l’établissement pour leur permettre d’assurer la continuité de leurs soins à domicile.

Une hospitalisation ou une nécessité de soins oblige parfois à faire appel à des transports spécialisés. Comme de tels transports engage des frais, il arrive de poser la question sur la prise en charge par l’assurance maladie.

Sous quelles conditions le transport médical est pris en charge ?

L’assurance maladie prend effectivement en charge le transport médical de ses assurés. Toutefois, la prise en charge n’est pas systématique et doit répondre à des critères préalables sous peine d’un refus de remboursement. Dans cette optique, l’ayant droit doit disposer d’une prescription médicale ou d’un bon de transport établi par un médecin indiquant le motif du déplacement, le lieu de prise en charge et le mode de transport. Il faut d’ailleurs souligner que ce dernier point ne peut être fixé arbitrairement par le médecin ou selon le souhait de son patient en raison d’une prescription légale stricte. Le respect de ce mode de transport par l’assuré est donc une condition sine qua non. Enfin, dans certains cas, un accord préalable de l’assurance maladie est aussi nécessaire au même titre que l’existence d’une convocation appelant l’ayant droit à une consultation médicale.

Quelles circonstances bénéficient du remboursement des frais de transport ?

Les cas ouvrant droit à un remboursement des frais de transport médical sont strictement encadrés par le code de la sécurité sociale. Ainsi, pour bénéficier de la prise en charge, le déplacement doit d’un côté justifier d’une nécessité de soins et de traitements. Il en est par ailleurs des transports liés à l’hospitalisation, aux traitements pour affection de longue durée, aux accidents de travail et aux maladies professionnelles, et à un état exigeant une ambulance. D’un autre, les transports appelant une certaine distance de trajet de plus de 150 km et une fréquence de déplacement d’au moins 4 fois en deux mois pour un trajet d’au moins 50 km sont aussi remboursés. Enfin, il y a le transport d’enfant mineur à un centre d’action médico-sociale précoce ou un centre médico-psycho-pédagogique.

Comment se déroule la prise en charge ?

En cas de frais de transport médical engagés, un remboursement à hauteur de 65 % est pris en charge par l’assurance maladie. Pour en jouir, l’assuré doit remplir un formulaire téléchargeable sur le site de son assurance maladie et le présenter avec le bon de transport et les justificatifs de dépenses. Néanmoins, la loi a prévu des cas où la prise en charge est assurée à 100 %. Parmi ces cas figure entre autres le transport médical de l’enfant ou de l’adolescent dans un centre d’action médico-sociale précoce ou un centre médico-psycho-pédagogique, le transport des bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire.

Dans le cas où quelqu’un a été victime d’une grave blessure accidentelle ou a souffert d’une maladie compliquée à l’étranger, il s’ensuit que celui-ci nécessite un transport médicalisé pour son rapatriement vers un centre de santé local pour se soigner. La prise en charge des frais engagés lors du transport médical du patient nécessite l’observation d’un certain nombre de procédures.

Une simple ordonnance médicale peut suffire

D’une façon générale, la CPAM ou la Caisse Primaire d’assurance Maladie accorde une prise en charge  sur simple ordonnance jusqu’à 100% des frais engagés dans le cadre des transferts médicaux. Cependant, une procédure spécifique s’y rapportant a été mise en place pour prétendre à un tel avantage. Entre autres, il y a lieu de savoir qu’il existe deux grandes lignes de subdivision dans la classification des frais de transport médical pour la CPAM. Dans la première catégorie, il a été identifié que les transports en liaison à une hospitalisation ont été pris en compte ainsi que les transports relatifs aux traitements des affections chroniques et les déplacements liés aux soins des accidents du travail.

Un accord préalable de la CPAM est requis pour certains cas

Pourtant, dans le cas des transports médicaux fréquents, qui peuvent rassembler au moins 4 transferts liés au même traitement, de plus de 50 km s’étalant sur une période de 2 mois, il s’est avéré nécessaire d’obtenir l’accord préalable de la CPAM avant de prendre toutes les décisions des transports sanitaires qui s’imposent. Il est de même pour les transports en avion ou bateau en ligne. C’est le médecin conseil qui assure, généralement, l’octroi d’un accord de principe sur le remboursement ou non des frais du transport aérien ou maritime prévu par les proches du patient. Dans le cadre de cette situation, une formulaire de demande d’accord préalable doit être adressée au service de la Caisse d’Assurance Maladie pour être transmises ultérieurement au médecin conseil en charge du suivi des dossiers du traitement du patient.

Le respect des règles de procédure est déterminant

Dans tous les cas, il est intéressant de prendre en considération que même si le patient possède une ordonnance de transport en bonne et due forme, et que l’une des conditions des règles de la procédure n’a pas été respecté, les dépenses engagées dans ce sens restent non remboursables par la CPAM. La règle des priorités doit être respectée dans le bon sens pour une meilleure efficacité des transports médicaux d’urgence.